187 : code meurtre

Titre original : 187

Réalisateur : Kevin Reynolds

Casting : Samuel L. Jackson, John Heard, Kelly Rowan

Résumé :

"Professeur de biologie dans un lycée new-yorkais, Trevor Garfield voit sa vie basculer quand il est poignardé par l'un de ses élèves qu'il comptait faire redoubler. Quinze mois plus tard, remis sur pied, Trevor s'est installé en Californie où il effectue des remplacements. Un matin, il est appelé pour quelques jours dans un lycée de Los Angeles. Dès le premier cour, il constate qu'il y règne la même violence qu'à New York. Les profs, découragés, enseignent sans conviction, l'administration se fait discrète et une poignée de petits durs font planer la terreur dans l'établissement, persécutant les quelques enseignants qui tentent de s'interposer..."

Critique :

On me dira que le thème du professeur qui arrive dans une école difficile a été mainte fois exploité. Que c'est toujours la même histoire gnangnan du gentil professeur qui donne envie au méchant étudiant d'apprendre... Et bien pour une fois non!

Ce film est différent de tout ce qui a été fait précédement. Le professeur n'est pas un ange et les étudiant ne sont pas des monstres. Ce film est une critique de la socièté et plus particulièrement du système éducatif américain. C'est aussi l'histoire d'une vie détruite et d'une vengeance sans pitié.

Samuel L. Jackson est, comme d'habitude, magnifique dans ce rôle qui n'est pourtant pas facile. Mais je dois dire que j'ai vraiment été impressionné par la prestation de Clifton Collins jr. qui est vraiment remarquable dans son rôle de caïd!

Un film riche, magnifique avec un final qui ne peux pas laisser indifférent... Bref, un film à voir absolument!!

9/10

Oui, je me rappelle de ce film.....il n'utilise pas un arc à un certain moment pour dégommer un petit crétin ?

Et je me souviens aussi de la bande-annonce qui passait à la radio, elle rabachait tout le temps :

[Mode voix de gros balèze ON]

One, eight, seven...une histoire de vengeance
One, eight, seven...une histoire violente
One, eight, seven....
One, eight, seven.....

...
[Mode voix de gros balèze OFF]

Le gars qui a créé ce spot, on aurait aussi du l'abattre avec un arc parce plus mauvais, j'ai rarement entendu