Manu Chao à Esperanzah

Rentré et RAVI !!!!

Quelle soirée ! Quelle ambiance ! Un concert qui a démarré à 100 à l'heure tel le départ sur une grille de Formule 1.... et qui s'est conduit de la même façon à fond la caisse, tantot un virage en souplesse, tantot une chicane négociée avec brio.... et un tour d'honneur je vous dit que ça !

Le journaliste du soir a déjà résumé tout ça bien mieux que moi :

Citation :

La récompense, d’ailleurs, est là pour tout le monde. On peut trouver démesurée l’attente crééee autour du passage du Radio Bemba Sound System à Floreffe. Mais devant Manu, guère de questions en suspens: c’est deux heures endiablées que le maestro a livré. Sans une seconde de répit, tout cela s’enchaîne avec une rapidité déconcertante. Première demi-heure pied au plancher façon Mano Negra, quelques moments en mode plus doux, du Manu Chao qui ne se renie pas, avant que l’incroyable machine se remette en route.

Pendant deux heures, les pieds et les épaules comme les hanches n’auront pas trouvé le repos. Une heure de “Clandestino” et de “Me gustas tu”, assortis d’une paire de “Cuando llegaré” plus tard, on en est toujours à battre frénétiquement le pavé. Les musiciens sont, à l’exception du boss, tous torse-nu. Il y en a dans la foule qui ont hésité à faire de même. D’autres qui n’ont pas hésité. Sur scène, en tout cas, la fête semble devoir ne jamais s’arrêter, sous un ciel redevenu plus doux.
Si Esperanzah! a vécu son apothéose ce lundi, ce n’est pas seulement pour cette année, mais pour les cinq dernières années de festival. A se demander à quoi Jean-Yves Laffineur va pouvoir rêver à présent que son beau rêve, qu’il a partagé ce 6 août avec 8500 personnes, est accompli.

Y a pas de photo?

Pour une fois, Ibn_Spirou n'a pas fait preuve de sa légendaire dyslexie, on souligne l'effort

Pour faire plaisir à Zebulon.... na !




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